Triumph en Compétition Tome 5

Triumph en Compétition Tome 5

Paru en 2005. ISBN : 2-9516767-4-3
256 pages, 315 photos NB

Au sommaire :
Préface par Claude Dubois et Freddy Rousselle, pilotes d'usine Triumph.
Entrevue avec Sir Stirling Moss : interview exclusive autour de son attachement pour les 24 Heures du Mans, les Mille Miglia et le Tourist Trophy. Inédit, une Spitfire en rallye aux couleurs du Stirling Moss Automobile Racing Team !
Avant-propos : "Triumph dans la course" par Paul Richardson, le fils de Ken Richardson. Texte publié en Français et en Anglais. ("Racing Triumphs") : une approche intimiste de la compétition chez Triumph, aux Mille Miglia, à Dunrod, pour le Tourist Trophy, aux 24 Heures du Mans ainsi qu'à Monza pour les records du monde d'endurance de 1959.
Opinion par Alain Bertaut, Pilote, Directeur de Course, Président du Collège des Commissaires sportifs puis Responsable des règlements techniques et sportifs aux 24 Heures : "Le Mans, les 24 Heures, le mythe"… La saveur et l'intimité cachée du Mans...

Les Triumph TR2, TR3S et TRS aux 24 Heures du Mans, 1954 / 1961.
Les Triumph TR2 au Tourist Trophy, 1954 et 1955.
Les Triumph TR2 et TR3 aux Mille Miglia, 1954 / 1957.
Les Triumph TR2 et TR3 aux 12 Heures de Reims, 1956 / 1957.
Les Triumph TR2, TR3 et TR3A aux 12 Heures de Sebring, 1954 / 1961.

Les pilotes Triumph : Ninian Sanderson : le rebelle venu d’Écosse, Dickie Stoop, Peter Jopp : 30 ans de bons et loyaux services, Dave Gleed : un des hommes de l’ombre, Mike Rothschild : Sebring, Le Mans, quel programme ! Tom Blackburn : ambiance fifties…

Carnets de pesage : toutes les données techniques des Triumph inscrites au Mans.
Une TR2 pour la piste.
Peerless : ils ont osé le Mans, 1958 !
René Froidevaux : une TR3 suisse
Un tour du circuit du Mans avec Claude Dubois.
Impressions au volant avec Freddy Rousselle, "J’ai tant aimé Le Mans !".
Le moteur twin-cam : Sabrina pour les intimes !
La Triumph Conrero, conçue pour la piste, un projet hélas "mort-né"...
De très nombreuses photos totalement exclusives pour une étude mécanique très détaillée de ces mécaniques bien spéciales...
Les 24 Heures de Morgan, 1962.


"Les Mille Miglia constituent mon meilleur souvenir des courses de voitures de sport,
une course mythique, très certainement la plus importante et la plus significative
que j’ai jamais faite…
Une course unique, incomparable à nulle autre, à rapprocher de la Panaméricaine.
C’était très très difficile car il y avait plus de 500 voitures au départ,
dans une ambiance extraordinaire,
ce qui faisait près de 1000 pilotes avec les coéquipiers ,
du plus rapide, du plus expérimenté jusqu’au garçon coiffeur du quartier !"
Sir Stirling Moss, © Triumph en Compétition Tome 5

"On me fit l’honneur de partager le volant d’une Triumph au Mans avec Ninian Sanderson, ancien vainqueur des 24 Heures sur une Jaguar type D en 1956.
Ninian était un très bon pilote, c’était aussi un type très drôle
qui faisait largement honneur à sa boisson nationale, le whisky,
et avec beaucoup de constance !"
Claude Dubois, © Triumph en Compétition Tome 5

"Les 24 Heures du Mans ? L’épreuve inégalée, inégalable.
Pourquoi ?
L’esprit, l’indépendance des organisateurs et la rigueur
font que cette épreuve toujours jeune résiste à toutes les intempéries,
politiques et financières."
Freddy Rousselle, © Triumph en Compétition Tome 5

"Les souvenirs sont innombrables…
Des bons, comme la joie toujours aussi éclatante des vainqueurs,
les rapports privilégiés avec les pilotes et les concurrents,
la confiance dont m’ont honoré les ingénieurs chez les constructeurs,
qui m’ont admis sans réserve dans le secret de leurs bureaux d’études.
Des souvenirs tristes aussi,
tels les drames irréparables que furent les accidents
qui m’ont privé de l’amitié de pilotes devenus des amis,
ou les disqualifications dictées par l’application stricte du règlement."
Alain Bertaut, © Triumph en Compétition Tome 5

En couverture du Tome 5 :
Ambiance "Le Mans", passerelle Dunlop oblige, pour Ken Richardson
en 1955. Clin d’œil à la BRM V16 dont Ken assura le développement
technique et les essais pour l’équipe de Raymond Mays, un des
fondateurs du projet British Racing Motors.
© François Chevalier .